C’est quoi ?
C’est un processus de fermentation naturelle, dit « déchets verts » qui proviennent du jardin, du potager ou encore de la maison. Grâce à l’action de l’oxygène de l’air, de l’humidité et des micro-organismes, ces déchets en putréfaction vont fermenter pour aboutir au bout de quelques mois à la création d’un engrais naturel. Le compost est composé de déchets riches en azotes (épluchures de légumes, coquilles d’œufs, cendres de cheminée, pailles, filtres à café avec marc de café, fruits & légumes abimés, papier journal, bouquets fanés, mouchoirs en papier…) et de déchets riches en carbone (tailles de haies, litières biodégradables d’animaux, tonte de gazon, branchages, feuilles mortes…).
Le parfait compost…
Il existe plusieurs outils pour réaliser son compost, l’idéal étant les silos en bois ou en plastique disponibles dans le commerce. Il est également possible de faire son compost en tas ou dans un fût… ou de construire vous-même le réceptacle. Ces quelques points clés sont à prendre en compte pour réussir son compost :
– Aération : il faut brasser les déchets tous les 3 mois.
– Humidification : le compost doit constamment être humide, ni trop sec, ni trop mouillé sinon les micro-organismes n’agissent pas sur la décomposition.
– Rapport carbone/ azote : pour que le processus de décomposition se mette en marche, il faut que les déchets contenants de l’azote soient compensés par ceux ayant du carbone. Pensez à mettre vos déchets de jardin à part pour compenser.
C’est prêt !
Sachez qu’un compost jeune (environ 3 mois) peut brûler vos plantes. Il arrive à totale maturité au bout de 6 mois, voir un an. On le reconnaît à 3 aspects : sa couleur foncée, son odeur d’humus forestier, son aspect similaire à du terreau.
Il existe plusieurs outils pour réaliser son compost, l’idéal étant les silos en bois ou en plastique disponibles dans le commerce. Il est également possible de faire son compost en tas ou dans un fût… ou de construire vous-même le réceptacle. Ces quelques points clés sont à prendre en compte pour réussir son compost :
– Aération : il faut brasser les déchets tous les 3 mois.
– Humidification : le compost doit constamment être humide, ni trop sec, ni trop mouillé sinon les micro-organismes n’agissent pas sur la décomposition.
– Rapport carbone/ azote : pour que le processus de décomposition se mette en marche, il faut que les déchets contenants de l’azote soient compensés par ceux ayant du carbone. Pensez à mettre vos déchets de jardin à part pour compenser.
C’est prêt !
Sachez qu’un compost jeune (environ 3 mois) peut brûler vos plantes. Il arrive à totale maturité au bout de 6 mois, voir un an. On le reconnaît à 3 aspects : sa couleur foncée, son odeur d’humus forestier, son aspect similaire à du terreau.
Astuces
Préférez ramasser vos feuilles mortes après une journée bien humide, cela activera le processus de compost. Le broyeur peut entrer en jeu à ce moment là pour réduire le volume de déchets. Pour surveiller l’humidité, prenez une poignée de compost dans votre main et pressez-la. Si vous avez quelques gouttes entre vos doigts et que le compost ne se disperse pas alors il est à la bonne humidité. Il est possible d’acheter dans le commerce un activateur de compost.